Ta gueule ! (Rires.) Puisque vous parlez le langage des casernes, mon cher collègue, vous permettrez au sous-lieutenant en Algérie que j'ai été, de l'employer à son tour !
Si vous n'avez pas, disais-je, un président dont l'autorité est reconnue par le ministère, vous ne ferez rien. Une présidence tournante entre sénateurs et députés, sans autorité et appui ? Tintin ! (Sourires.)