C'est une formule, certes, un peu à l'image des vôtres !
Je répète que ce qui est créé aujourd'hui constitue une première étape. Philippe Folliot, si je ne m'abuse, déclarait qu'après tout, on pouvait imaginer, au bout d'un certain temps, un bilan d'étape du fonctionnement de cette délégation. Ce sera naturellement au Parlement d'en décider puisqu'il s'agit d'une délégation parlementaire. Nous tenons ici un de nos engagements.
Par ailleurs, certains regrettent que la délégation ne compte pas neuf membres mais huit. Je doute que l'équilibre des forces ou la qualité de l'écoute s'en trouveraient changés.
Voilà une délégation qui, dans un premier temps, créera ce qui n'existe pas dans ce pays : un lieu où peuvent discuter des parlementaires et des responsables des services de renseignement.