Je vais m'expliquer pour ne pas paraître désagréable. Nous avons évoqué auparavant l'idée qu'était rattachée aux projets de partenariat une contribution. Or cette participation ne peut pas être estimée, pardonnez-moi l'expression, « au doigt mouillé ». Il faut bien faire un calcul en fonction de l'impact à venir de l'opération.
Ce que propose notre collègue, c'est une étude qui, en amont, permette un chiffrage de l'impact, de façon à élaborer les modalités financières du partenariat.
Invoquer, comme vous le faites, monsieur Piron, l'inutilité de l'étude est donc contradictoire avec les arguments que vous avez développés précédemment. C'est juste ce que je voulais pointer, sans vouloir être pour autant désagréable.