Pour une raison simple : le fait que nos propositions soient traduites dans la loi de finances n'est pas encore entré dans notre culture. Tel est le problème auquel nous sommes confrontés. Et instaurer de nouveaux comités ne changera rien à l'affaire. Il faut avant tout que nos décisions soient réellement appliquées. Voilà qui changera radicalement la nature du contrôle du Parlement et qui, à mon avis, générera beaucoup d'économies.