Monsieur Cahuzac, vous avez commencé par rendre hommage au texte et à ceux qui l'ont rédigé. Vous avez souligné aussi la cohérence qu'il y avait entre l'investissement réalisé – car c'est bien d'investissement qu'il s'agit : 13 milliards d'euros, ce n'est pas rien – et les promesses de campagne du Président de la République. Vous auriez dû poursuivre dans cette voie et souligner que ce texte fondateur permettra à la France et aux Français de reprendre confiance en leur avenir ainsi qu'en une notion que vous avez dévalorisée pendant cinq ans : celle du travail. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Oui, la France a besoin de travail ! Oui, la France a besoin de recréer des emplois.