Nous l'avons même calculé assez large, et l'on commence d'ailleurs à en voir le résultat sur le terrain : le fait de lever l'obstacle que constituait le phénomène de trappe à inactivité aide les allocataires du RMI à ne plus être à la charge entière des conseils généraux. Devenues en effet des personnes qui travaillent, l'intervention du conseil général, encore une fois prise en charge à plus de la moitié par l'État, n'a plus à être à hauteur du RMI à taux plein.