Nous ne voulions pas bouleverser un dispositif très complexe. Vous avez pu constater, à propos des différents mécanismes de primes pour l'emploi, que certaines mesures pouvaient finalement se retourner contre ceux que nous sommes censés aider. Nous préférons donc prendre le temps de la concertation et du travail pour pouvoir agir sans générer d'effets pervers.
J'en viens directement à la question du financement. Vous avez posé à cet égard plusieurs questions.
Première question : l'argent mis sur la table par le Gouvernement permettra-t-il d'atteindre les objectifs fixés ?
Deuxième question : le dispositif pèsera-t-il sur les finances des conseils généraux ?