Madame la ministre, je veux bien le retirer.
Je répondrai à notre rapporteur que ce que changerait le texte actuel s'il était maintenu, c'est le régime de la centralisation. Aujourd'hui, un seul organisme gère la totalité des expatriés, quel que soit leur département d'origine et quelle que soit leur situation. Si j'ai bien compris le texte, et d'après ce qu'ont aussi compris les associations représentant les Français établis hors de France, ce ne serait plus le cas si l'article n'était pas amendé dans le sens que je propose.
Cela dit, vous évoquez la prochaine conférence, madame la ministre. J'en prends acte, et je retire mon amendement, en espérant que l'on tiendra bien compte de cette situation spécifique, je le répète, qui est celle de nos concitoyens établis hors de France.