Je vois que vous opinez du chef, monsieur le secrétaire d'État. Je pense que vous êtes lucide sur le sujet. En effet, l'État peut soutenir qu'il est prêt à compenser demain une mauvaise desserte ; mais on ne pourra jamais contraindre un opérateur à le faire avec la législation en vigueur.
Il ne faut donc pas se voiler la face, autant nous montrer lucides. C'est la raison pour laquelle nous maintiendrons cet amendement et c'est aussi la raison pour laquelle nous nous sommes opposés aux enchères.