Il n'y a donc pas de place pour le débat, et ce fait majoritaire ôte toute signification aux quelques modifications que vous nous proposez.
Vous parlez d'études d'impact : voilà la dernière invention du magasin de farces et attrapes de la compagnie Sarkozy-Fillon ! Mais elles existent déjà, madame la ministre, monsieur le secrétaire d'État : le bon M. Séguin, jadis excellent président de notre assemblée et aujourd'hui non moins excellent premier président de la Cour des comptes, vous soumet chaque année un rapport pour vous rappeler de ne pas gaspiller l'argent public en inutiles réductions de cotisations sociales, mais vous n'en tenez aucun compte.