Rythmes infernaux, violences contre le personnel en augmentation, établissements insalubres, recrudescence des suicides tant chez les détenus que parmi les personnels pénitentiaires, surpopulation carcérale passée, contrairement à ce que vous affirmez, de 48 000 détenus en 2001 à 62 700 aujourd'hui, au point que 120 détenus se partagent 66 places à Tarbes : tel est le tableau noir de nos prisons.
Vous prétendez que la gauche n'a entrepris aucun programme de construction de prisons.