Je ne veux pas croire qu'il s'agit là d'une basse manoeuvre dont le cynisme n'aurait d'égal que le mépris pour nos concitoyens, dont vous savez qu'ils sont très attachés au service public postal.
Si la privatisation était toujours votre projet, dites-le clairement aux Français ! Ayez le courage de dire que c'est un pur choix idéologique, que rien ne vous y oblige, et surtout pas les directives européennes, qui n'exigent d'ailleurs pas le changement de statut.