Monsieur Leteurtre, vous l'avez dit : des perturbations subsistent aujourd'hui dans une quinzaine d'universités. Je répète ici ce que j'ai déclaré hier : les étudiants veulent très majoritairement reprendre les cours et nul n'a le droit de prendre en otage leur avenir. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.) À chaque fois qu'un président d'université nous le demande, ma collègue Michèle Alliot-Marie et moi-même mobilisons tous les moyens nécessaires…