Je n'ai entendu personne hurler, monsieur le président, et je ne croyais pas avoir accédé à la transparence !
Je tenais, sur ces questions de sécurité, à prolonger les propos très précis et très graves de Delphine Batho, qui a d'ailleurs été, je vous renvoie le compliment, interrompue d'une façon très brutale, ce que je regrette. Elle voulait parler, comme nous, de la nécessité d'évaluer en matière de sécurité les propositions législatives. Je reprends donc le flambeau.
À la veille d'une loi de programmation qui prévoira la suppression de 8 000 postes de policiers, si vous pensez, vous, députés des villes, qu'une étude d'impact, une évaluation, est totalement inutile, vous prenez un risque très grave.