Pour mutualiser et gagner des parts de marché, pour être plus dynamiques, il faut se serrer les coudes, ce qui suppose que tout le monde joue collectif. C'est également le cas dans le domaine de l'agriculture et de la forêt. Ne nous répondez donc pas que cela relève du règlement, et non pas de la loi.
Par ailleurs, l'une des forces de notre commerce de proximité, au-delà de sa capacité à être réactif, à avoir plus souvent le sourire que d'autres et à avoir une vraie proximité, doit être une bien plus grande unité, qui lui permette de mutualiser ; or c'est aujourd'hui l'une de ses faiblesses.
Notre proposition ne vise pas à imposer ce dispositif, qui repose sur la base du volontariat. Ne travestissez donc pas les propos de M. Gaubert : s'il y a 60 % de volontaires pour créer le dispositif, il est créé ;…