Nous ne sommes pas loin de constater que vous êtes prêts à renoncer aux pouvoirs qui sont les vôtres.
Monsieur le président, j'en viens à un sujet qui vous intéresse et qui nous préoccupe. Je suis profondément attaché au service public de l'éducation nationale. (« Nous aussi ! » sur les bancs du groupe UMP.) Or, plus que tout autre, il est aujourd'hui en danger. Il mérite que chaque projet de loi le concernant fasse l'objet d'une réflexion et d'une concertation, qu'un temps de réaction soit laissé, et un temps d'amendement – toutes choses que vous voulez supprimer.