Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le secrétaire d'État, chers collègues, j'ai été tenté de laisser mon temps de parole à Jean-Paul Charié, tant je partage certains de ses points de vue, même si je ne suis pas d'accord avec la totalité de ses propos.
Madame la ministre, monsieur le secrétaire d'État, permettez-moi tout d'abord de m'étonner que Michel-Édouard Leclerc ne soit pas sur les bancs des conseillers du Gouvernement. (Rires sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche et du groupe de la Gauche démocrate et républicaine.)