Certaines idées qu'il a défendues ne manquent d'ailleurs pas d'intérêt, et méritent d'être creusées : je pense par exemple à la définition d'un pouvoir d'achat alimentaire par opposition au pouvoir d'achat global, l'alimentation étant le poste de dépenses qui conditionne le plus le pouvoir d'achat de nos concitoyens les plus modestes. Je pense aussi au « référencement-racket », au problème des délais de paiement – nous avons en effet entendu en commission le chiffre de 11 milliards d'euros – et à la suppression des marges arrière.
Reste qu'avec le parti socialiste, le problème est toujours le même : le constat est très bon, les propositions un peu moins ! (Sourires.)