Un de plus, mais je crois qu'il est nécessaire de le faire. En voyant la position que vient de prendre une nouvelle fois le secrétaire d'État, en écoutant tout à l'heure M. Copé, en entendant les réponses du président de la commission des lois, nous avons le sentiment, chers collègues de la majorité, que vous préfigurez, cet après-midi, d'une façon terrible et détestable, ce que sera, si par malheur elle est votée, l'application de cette loi organique.
En tuant, cet après-midi, le droit de sous-amender pour les parlementaires de l'opposition,…