Je suis effaré : le Gouvernement défend les droits de l'homme, à condition qu'ils n'empiètent pas sur le business ! Dès lors que cela peut faire perdre quelques piécettes à ceux qui sont déjà largement pourvus, vous ne trouvez plus de solution. Vous débordiez pourtant d'imagination quand il s'agissait, dans le cadre de la loi TEPA, de beurrer la tartine des privilégiés ! Il s'agit là de protéger des gens dont les droits fondamentaux sont niés. Ce n'est quand même pas très difficile de prendre des dispositions. Nous sommes prêts à coopérer avec le Gouvernement pour trouver les meilleures formules. Mais je vous sens, monsieur le secrétaire d'État, monsieur le rapporteur, beaucoup moins zélés : pour passer du discours à la pratique, vous vous montrez déficients !