Je serai très bref, monsieur le président.
Mon amendement est déjà satisfait, me dit-on. Mais la situation que je déplore existe. C'est donc que les textes existants ne fonctionnent pas. Et si les textes existants ne fonctionnent pas, c'est donc qu'il faut les compléter.
J'essaie d'être cartésien, et de vous inviter à la fidélité à l'héritage de René Descartes.
Si je n'ai pas tort, c'est que j'ai raison. Et donc, vous pouvez avoir raison avec moi, et compléter la législation pour que je déplore soit plus efficacement combattu.