Vous voyez bien que tout n'est qu'une question de convention !
Par ailleurs, lors de l'examen du projet de loi constitutionnelle, le Gouvernement nous a rebattu les oreilles avec les évaluations auxquelles il conviendrait de procéder. Nous sommes d'accord, mais à condition qu'il n'ignore pas les évaluations susceptibles de le desservir.
Madame de La Raudière, je suis certain que vous avez la plus grande estime pour la Cour des comptes et son Premier président, qui fut notre excellent président, M. Philippe Séguin. Je vois l'ombre d'un doute dans l'oeil de M. le secrétaire d'État sur la considération que mérite M. Philippe Séguin.