Je voudrais dire à Louis Giscard d'Estaing que nous avons évalué l'impact de ce projet sur le développement actuel de l'intéressement, qui, ces dernières années, sans dispositif spécifique, a crû de 10 % par an. À la lumière des contacts et des concertations préalables que nous avons eus, nous avons pu estimer – sans que cela revête aucun caractère scientifique – que, grâce au crédit d'impôt, on pourrait doubler la progression de l'intéressement et donc en doubler le montant en 2012.