Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, je crois qu'il est nécessaire, à ce stade de la discussion, de bien repréciser l'objet du débat.
À entendre les socialistes, le texte que nous examinons assassine littéralement l'opposition en la privant du droit de parole. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)