D'avoir fait cavalier seul ? Vous en avez tous appelé à l'Europe. Or c'est bien ce que nous avons fait les six derniers mois et, quand c'était efficace, vous n'avez rien trouvé à redire. Nous avons toujours soutenu la présidence tchèque et il n'est pas question de ne pas le faire.
En ce qui concerne la présidence française, nous avons été capables, au mois d'août, lors du conflit en Géorgie, de réagir tout de suite.