C'est une réalité dont nous devons tous en être conscients, et vous avez eu raison de le souligner, monsieur le ministre.
Cela dit, on ne peut pas laisser les agriculteurs seuls devant le principe de responsabilité. Ce serait totalement anormal. Je défends, pour ma part, les agriculteurs car ils ont souvent servi de boucs émissaires en matière de non-respect de l'environnement. Ils sont montrés du doigt pour l'utilisation des pesticides, mais également pour les excès d'azote, de nitrate et de phosphates.