Au nom des quatre communes concernées, je vous remercie pour cette réponse, monsieur le secrétaire d'État. La nature exceptionnelle des faits nécessite en effet un engagement spécifique de l'État, d'autant que le territoire dont il s'agit souffre déjà naturellement.
Je prends bonne note de vos propos, mais j'aimerais aussi que la dimension psychologique soit prise en compte. Tous les moyens doivent être mis en oeur des familles concernées.
Je compte sur votre engagement, monsieur le secrétaire d'État, et vous recevrai très volontiers au début de l'année prochaine.