La permanence des soins est, quant à elle, laissée en l'état, c'est-à-dire mal en point. En 2003, avec la suppression de l'obligation de garde, sans qu'ait été prévu un système de substitution, il y a eu démission de la politique. Où en sommes-nous six ans plus tard ? Beaucoup de désordres, des négociations tardives, des inquiétudes dans la population…
Que faire par la loi ? Redonner un temps à la négociation, mais considérer que, dans un an au plus tard, un schéma d'organisation de la permanence des soins devra être arrêté et mis en oeuvre.