Je ne mets en cause ni la volonté ni la capacité des uns et des autres à faire des propositions, mais nul ne peut se laisser abuser ni par le débat d'aujourd'hui ni par les mesures d'hier – celles du TEPA – ou de demain – celles que vous proposez, monsieur le ministre. Chacun sait bien que ce que vous proposez en termes de pouvoir d'achat n'aura que des effets hypothétiques et injustes alors que la réalité des choses aujourd'hui, pour chacun des Français, est certaine et, elle, particulièrement égale. Voilà en quels termes se pose le débat à l'occasion duquel les socialistes feront des propositions.
Monsieur Copé, il ne sert à rien de traiter par la dérision les propositions des autres. Je n'ai pas utilisé ce moyen. J'ai fait appel à l'analyse,…