Le président Pierre Méhaignerie l'a si bien perçu qu'il proposait pudiquement de le cacher derrière celui de « contrat de détachement ». Mais c'est bien d'un prêt qu'il s'agit. C'est bien ce mot que le bon sens utilise – ce mot qu'il interdit pour les brosses à dents et déconseille pour les voitures – que l'on va utiliser maintenant pour les salariés.