Sans nul doute, la situation de nos finances publiques impose des choix. Mais le boulier ne peut être le seul critère d'évaluation lorsqu'il s'agit de notre sécurité et du respect de nos engagements.
À ce sujet, j'aurai deux questions, monsieur le ministre : à combien est évalué le surcoût lié à cette opération ? D'autre part, pouvez-vous nous assurer que ce dernier ne sera pas prélevé sur le programme « Équipements des forces », comme cela a été cas, à ma grande stupéfaction, en 2007 ? (Rires sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)