Je vous rappellerai d'abord respectueusement, monsieur le secrétaire d'État, que la SOFIREM est une société d'industrialisation chargée du bassin houiller et non du bassin ferrifère, qui est éloigné de 150 kilomètres ! Cette maladresse que vos conseillers auraient pu éviter n'est pas pour me rassurer : au vu des débits dans la Fensch et de la surcharge des canalisations – alors que nous sommes dans une période où la pluviosité est absorbée par la nature, les résurgences d'eau ayant lieu en janvier-février plutôt qu'en avril-mai – un enfant de choeur constaterait que la situation est critique !
Je prends acte de vos engagements, mais si la catastrophe annoncée devait survenir, chacun mesurerait la responsabilité des uns et des autres !