Nous verrons par la suite ce qu'il en est. Je souhaite, en tout état de cause, que ces sommes soient dévolues, quel que soit leur niveau et au-delà de la dépense d'implantation de nouveaux radars visant à garantir la sécurité de nos concitoyens, à la promotion d'un réseau routier plus sûr de la part de l'État et de ceux qui seront attributaires – s'ils le souhaitent et seulement s'ils le souhaitent (Sourires) – d'une partie de ces ressources. Nous pourrions d'ailleurs prendre en compte la longueur de la voirie pour les répartitions.