M. le rapporteur général indiquait que nous ne prendrions pas les mêmes mesures de relance : en effet ! Aujourd'hui, la crise que nous traversons est due à une effondrement de la demande. Or, le demande est composée pour les deux tiers de consommation, et pour le tiers restant d'investissement. Une relance intelligente et équilibrée, qui concernait à la fois l'offre et la demande, relancerait la consommation – et donc le pouvoir d'achat – pour les deux tiers, et l'investissement pour un tiers. Voilà qui serait une mesure intelligente !