Il existe d'autres solutions : renforcer l'appel d'air donné par l'augmentation du numerus clausus, redistribuer les disciplines entre spécialistes et généralistes dans le cadre des études, valoriser la profession de médecin généraliste et en faire la promotion.
Contrairement à ce que pense Marc Le Fur et les signataires du sous-amendement, le délai de trois ans me paraît nécessaire pour mettre en oeuvre le contrat « solidarité-santé », négocié avec les autorités de tutelle et les professionnels de santé.
Donnons-nous une chance de pouvoir résoudre ce problème le plus rapidement possible. Des syndicats de médecins sont prêts à s'engager et à faire des efforts pour apporter des solutions. Ne cédons pas à la tentation de l'urgence en faisant n'importe quoi.