Plutôt que de donner une prime à des médecins qui viendraient passer une demi-journée ou quelques heures par semaine ou quelques jours par mois en zones sous-dotées, à l'instar de ce qui se produira après le vote intervenu au titre Ier concernant l'hôpital, pourquoi ne pas accorder aux généralistes qui s'installent en zones sous-dotées la revalorisation qui leur est promise depuis tant d'années ? Inversons les données du problème : donnons davantage à ceux qui acceptent de venir dans un secteur en difficulté, plutôt que de donner moins à certains qui, de toute façon, n'y iront pas.