Je rappelle la façon dont s'est déroulée notre discussion. Il y avait un amendement prévoyant que le conseil de surveillance délibère sur la politique médicale de l'établissement, élaborée par le directoire après avis de la commission médicale d'établissement, et mise en oeuvre sous la responsabilité du président du directoire. Je m'y suis opposée, car cela aurait entraîné une confusion des rôles à la fois désagréable et inefficace, mais j'ai dit à M. Bur que j'étais prête à accepter, en revanche, que le conseil de surveillance donne un avis.
Le groupe socialiste, ou plutôt socialiste, radical et citoyen (Sourires), a demandé – comme c'est son droit – un scrutin public sur un amendement qu'il avait déposé. Mais le vote de cet amendement nous a empêchés d'examiner la proposition de M. Bur que j'avais acceptée. Comme je ne veux pas que la volonté du Parlement se trouve ainsi dévoyée, si je puis dire, par les manoeuvres du groupe SRC (Rires sur les bancs du groupe UMP),...