Madame la ministre, vous avez apporté tout à l'heure une réponse qui me convient, en disant qu'une étude et une expérimentation seraient conduites.
Mes arguments sont également pertinents, car je sais comment cela se passe dans la pratique. Vous aussi, madame la ministre, vous savez que la plupart des gens, dans un état d'affolement lié à l'inquiétude plus qu'à l'urgence, font tous les numéros qu'ils ont sous la main : les pompiers, le SAMU, etc.