Je rappellerai à M. Debré, qui m'avait sans doute écouté de travers, que je n'ai pas cherché à donner un cours de sciences naturelles ni un cours de chimie, bien au contraire. Je me suis placé dans la position du citoyen qui fait le bilan de tout ce qu'il a entendu dans la première partie de sa vie à propos de toutes les innovations présentées comme fantastiques et dont on a découvert beaucoup plus tard qu'elles comportaient aussi des risques et des dangers.