La question de la permanence des soins est extraordinairement complexe.
Nous constatons qu'elle est liée au problème des déserts médicaux puisque, en cas d'urgence durant la nuit ou le week-end, certains de nos concitoyens n'ont plus accès à une structure de soins ou à un médecin.
Madame la ministre, quel dommage que l'un de vos prédécesseurs ait agi si précipitamment en prenant le décret du 15 septembre 2003 relatif aux modalités d'organisation et à la permanence des soins ! Il a évacué la dimension déontologique de la permanence des soins…