Je maintiens mon amendement.
Si j'ai bien compris, monsieur le président de la commission, seul l'accès à l'Intranet sera permis dans l'hémicycle. Mais ce n'est pas suffisant : nous voulons accéder à la totalité des services, c'est-à-dire à l'Internet. La question, je le répète, n'est pas de savoir si cet accès sera autorisé ou non dans le futur, mais si nous repoussons la mesure à plus tard. Je propose pour ma part que nous puissions bénéficier dès aujourd'hui des mêmes droits que tout le monde.
(L'amendement n° 7 est adopté.)