En effet, ayant en tête le souvenir des débats qui ont précédé la réforme constitutionnelle ainsi que la liste des députés socialistes qui souhaitaient la voter, parmi lesquels figurait M. Urvoas, on se dit qu'il doit être bien malaisé de passer, en moins d'un an, d'une volonté d'ouverture à un exposé – non un discours – fermé sur lui-même et où celui qui le prononce essaie de se démontrer qu'il valait finalement mieux ne pas s'occuper de tout cela.