Cette façon de concevoir l'organisation est responsable d'un absentéisme qui n'est pas une réalité. C'est dire si cette réforme est importante pour nous permettre, effectivement, d'être mieux perçus de l'opinion.
En revanche, on peut mettre en cause le principe de sanctions financières, adopté par amendement. Cela semble plus une satisfaction accordée aux médias et à l'opinion qu'une réponse à une réalité.
Comment fera-t-on ? Huit commissions au lieu de six, des délégations parlementaires, cent groupes d'études, cent soixante-dix groupes d'amitié : qui peut croire un seul instant qu'il n'y aura pas toujours de bonnes raisons pour ne pas être forcément présent en commission ?
De plus, je signale que tous les députés ne choisissent pas forcément la commission qu'ils souhaitaient, car le nombre de places reste fixe.