Les attaques que j'ai entendues sur vos bancs, chers collègues de l'opposition, ainsi que les critiques que nous-mêmes avons pu faire au cours de ces derniers mois montrent au moins une chose : nous sommes dans un pays où la presse est libre. C'est ce que je rappelais il y a quelques mois lors d'un débat avec des intellectuels qui soutenaient que la presse ne pouvait pas faire son travail. Ce qui se passe depuis un an montre au contraire qu'elle le fait.
Nous sommes des parlementaires et nous devons discuter de l'avenir de nos institutions et de la démocratie. (Exclamations sur plusieurs bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)