Et ce ne serait pas difficile à faire.
J'ajoute que le CSA, dans sa sagesse, a décidé que le temps de parole du Président de la République et celui de ses collaborateurs, c'était la même chose. Dès lors, il serait absurde de prétendre que les interventions du Président de la République ne pourraient pas être comptabilisées si ce système s'appliquait aussi à ses collaborateurs.
Dernier point : certains ont parlé, et à raison, de la liberté des journalistes et de la liberté de la presse. Nous connaissons tous beaucoup de journalistes qui souhaiteraient tout de même, sans que cela remette en cause leur libre choix, un équilibre organisé. Ce serait à eux de choisir ce qu'ils relatent, dans le cadre de cet équilibre. En laissant le Président de la République hors de ce cadre, vous voyez bien la difficulté dans laquelle vous les placez.