Vous voudrez bien lui transmettre ! (Rires sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Madame la ministre, monsieur le secrétaire d'État, je souhaiterais qu'après les arguments qui ont été échangés, vous vous exprimiez au nom du Gouvernement, et non pas au nom du Président. Vous nous avez dit : « non ». Or, ce sont les droits de l'opposition qui sont en cause, et non pas ceux du Président, car la liberté de ce dernier sera toujours sans limites…