C'est la raison pour laquelle, bien sûr, nous soutenons avec force la question préalable défendue par notre collègue Cochet.
Je souhaite conclure en affirmant que nous ne pouvons pas accepter que quelques entreprises semencières transforment d'une manière irréversible le vivant en le brevetant pour en faire un outil de production de masse, de consommation de masse, pour réaliser le plus grand profit au détriment de l'environnement, de la biodiversité, de notre santé et, nous le savons bien, sur le dos des paysans les plus pauvres du monde. (« Oh ! » sur plusieurs bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Ce que nous défendons ici, ce n'est pas une chapelle, ce n'est pas une théologie. (« Si ! » sur plusieurs bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Nous ne sommes pas des obscurantistes,…