Leur indépendance a été tant de fois remise en cause ! On ne peut tout de même pas leur interdire d'avoir des idées. Si, ensuite, ils décident de sauter le pas et de les assumer, comment leur en vouloir ? Évitons donc d'entrer dans de tels débats.
Nous souhaitons disposer, en plus de l'avis qui nous est donné, d'une réelle expertise. Les textes actuels offrent certaines possibilités, mais ils ne sont ni suffisamment institutionnels, ni suffisamment clairs. Nous faisons donc un choix. L'opposition a le droit de ne pas être d'accord avec nous.
(Les amendements nos 642 à 662 ne sont pas adoptés.)