Pour l'instant, c'est vous qui me faites digresser, monsieur le président. (Sourires.)
Je disais qu'en ramenant la date de revalorisation du SMIC du 1er juillet au 1er janvier, monsieur le ministre, vous ne poursuivez d'autre objectif que celui d'affaiblir le SMIC et d'ouvrir la voie à la possibilité d'y intégrer les primes – une revendication déjà ancienne des organisations patronales.
Je reviendrai au cours de la discussion sur la fameuse commission d'experts, mais, pour que le ministre ait le temps d'y réfléchir, je voudrais dès maintenant proposer des candidats : Mme Parisot, M. Ghosn, M. Mulliez, M. Afflelou, M. Tapie,…