Nous devons donc étudier les besoins avec le plus grand pragmatisme et tenter d'y répondre. Je n'exclus pas la possibilité, qui a été évoquée, d'opter dans certains cas pour un secrétaire général délégué – voire deux. Ce que je veux, c'est d'abord un dispositif opérationnel qui permette de remplir la mission. Ensuite, on peut chercher, en fonction du territoire, le moyen le plus approprié pour la remplir. Mais n'oublions pas que, dans certains territoires, la sous-préfecture reste – je dirais presque malheureusement –, plus qu'un symbole, la seule marque réelle d'une présence de l'État forte et visible.